Grâce au jeu l’enfant acquiert les savoirs les plus importants comme les dextérités intellectuelles, sociales, motrices, langagières, sentimentales. Le jeu incite l’initiation de lien entre tous ces univers. En sus, en jouant, le gamin apprend à harmoniser ses pensées, ses sensations et ses pressentiments avec ses pratiques et ses avis.
Les cinq premières années s’avèrent décisives pour l’épanouissement du cerveau des bébés. C’est la raison pour laquelle il semble primordial de l’épauler dans la gestion de ses émois et dans son éducation. Cela tonifie ainsi son évolution intellectuelle. Notre cadence de vie interagit davantage avec le temps libre octroyé au jeu. Dès leur tendre enfance, les gamins passent des heures interminables en groupe. Les distractions sont alors plutôt structurées et encadrées. Ils ne se centrent pas sur les intérêts et les exigences de l’enfant. Ils laissent également moins d’espace à l’indépendance et à l’inventivité. Pendant la jeunesse, le jeu de l’enfant module d’une manière progressive. Il va évoluer et devenir plus complexe. Par exemple, le gamin souhaitera comprendre la raison pour laquelle un accessoire rond ne s’emboîte pas dans un carré, même en enfonçant dans tous les sens. Il travaille alors son bon sens, son raisonnement et son aptitude d’analyse. Les savants soulignent d’ailleurs sur l’envergure du jeu accompagné, cela signifie le jeu non oriente. Tel une grande personne ou un enfant plus vieux qui est plus aguerri que le gamin peut assister celui-ci à réfléchir davantage en l’escortant, mais sans gérer lui-même le passe-temps. Cela permet au petit de se divertir comme il le veut. Jouer permet aussi de souder la relation parent-enfant. Des écrits ont par ailleurs démontré qu’un rapport parent-enfant de qualité aide à encourager les dispositions intellectuelles du gosse, telles que les activités exécutives. On rencontre une panoplie de formes de jeu chez le bambin : le jeu exploratoire, avec objets, de construction, physique comme bataille, jeu symbolique (faire semblant), le jeu géré par des réglementations. Les enfants en bas âge exigent un réseau d’autrui avec diverses qualifications pour les assister à évoluer leur cerveau. Des échanges respectueux et de qualité sont la solution afin de tirer l’optimum des expériences et procurer la main-forte utile pour le développement d’un cerveau solide qui durera toute une existence. Le service et le retour de service débutent précocement dans la vie quand le bébé babille et que sa mère lui sourit en contrepartie, ou il gigote lorsque son père le chatouille. Ces jeux forment des synapses ou des liaisons dans la conscience de l’enfant.